Chaque année, des milliards de dollars américains sont investis dans des projets de développement routier en Afrique. Malheureusement, malgré l’existence d’importantes mesures de protection, des routes ne répondant pas à la norme minimale de sécurité 3 étoiles continuent d’être construites.
Traditionnellement, la conception des infrastructures routières en Afrique a principalement été axée sur les véhicules motorisés, bien que seule une minorité de la population possède une voiture. Par conséquent, de nombreuses routes sont conçues et construite sans prendre en compte la majorité des usagers : ceux qui marchent, utilisent les minibus publics, les motos-taxis ou encore le vélo.
Les usagers non motorisés sont insuffisamment protégés contre les véhicules motorisés et le contrôle de la vitesse des véhicules est souvent inefficace dans les zones d’interaction entre les piétons et les véhicules, ce qui expose particulièrement les piétons à des risques élevés.
Le partenariat Safe Schools Africa fournit une assistance ciblée, à l’efficacité prouvée, à des projets routiers en Afrique.Il fournit la capacité de se concentrer sur la sécurité, en renforcer les compétences des fonctionnaires et des ingénieurs, et en changeant les mentalités des politiciens – tout cela dans le but de créer des routes où les enfants peuvent marcher en toute sécurité, améliorant ainsi leur santé et leur bien-être, ainsi que l’environnement.
Actuellement, le partenariat Safe Schools Africa fournit une assistance à sept projets routiers financés par des banques de développement, couvrant un total d’environ 650 kilomètres de routes dans cinq pays, et mène des projets pilotes dans cinq pays.
Vous pouvez télécharger le prospectus complet concernant Safe Schools Africa ici.